Belle occasion pour lancer une série de mesures encourageant l’utilisation de la bicyclette. Campagnes de pub, sites web, soutiens politiques, expositions dans les galeries, tout a été mis en oeuvre pour doper la popularité de la petite reine.
Et je n’ai pas été épargné.
Hier, grand adepte du Vélib’ parisien, aujourd’hui disciple du Citybike viennois.
Les similitudes entre les deux systèmes, mêmes vélos, mêmes bornes, facilitent bien mon intégration…mais n’effacent pas les différences comportementales.
Qu’est-ce qui distingue un Viennois d’un Parisien?
A un stand Citybike, je choisis mon vélo, procède à son contrôle bien éprouvé : pneus pas crevés, chaîne pas déraillée, roue pas voilée, selle pas embarquée…ouf !
Satisfait je me dirige vers la borne pour louer ce vélo impeccable. C’est en général le temps suffisant à tout Viennois pour mettre sa carte bancaire à la borne, taper son code, sélectionner un numéro de vélo disponible, et se diriger vers…MON vélo !
Vienne étend son réseau Citybike, aujourd’hui 1200 km, soit la distance Paris-Vienne, et plus de 1200 bicyclettes sur 100 bornes de location. La part modale du vélo est de 6% aujourd’hui.
Ce qui est trop bien aussi à Vienne, c’est qu’on peut choisir la couleur de son vélo ; ) !!
Et oui!
Jaune, violet, orange, bleu, et gris.
Blue Tomato n’a rien oublié de Vienne!
Il est évident Bussi dear que personne ne se serait dirigé vers TON vélo à Paname, soit ta vieille gazelle toute déglinguée 😉 Je me disais bien aussi que tu ne nous avais pas encore parlé de la petite reine! Bon dimanche Poulidor my very dear.
J’espère qu’au moins tu n’avais pas oublié ton casque !!!!